Nom: inconnue
Prenom*: Kescélia
Age*: 24 ans
Rangement*: neutre du moins pour le moment
Race*: humaine
Classe*: marchombres
Description physique (5lignes)*: Kescélia est une belle jeune femme. Son corps à subit la rigueur de sa discipline, mais n'a rien perdu de sa feminité. Un corps fin et élancé, aux muscles déliés. De jolies formes qui sont souvent caché sous ses tenues de travails. Son visage est aussi expressif et mystérieux que la jeune femme même. Ses lêvres pourpres sont souvent dessinées d'un sourire mystérieux, tout comme son regard d'un noir profond. Ses pommettes saillantes souligne son long regard et l'une d'elle est marquée d'une légère cicatrice datant de son enfance. Ses long cheveux noir jaies sont généralement coiffé d'une simple natte pendant ses missions, mais sont entièrement libre le reste du temps, seul un ruban turquoise parfois virevolte dedans.
Description mentale (5 lignes)*: Kescélia est une personne changeante. Autant peut elle paraitre joviale et insouciante à certains; qu'elle paraitra froide distante et calculatrice pour d'autre. Elle à vécut bien des choses plus jeunes ce qui l'a endurcit. Jamais elle ne donne entièrement confiance, beaucoup d'épreuves doivent être vécut à ses côtés avant d'être entièrement accapté. Elle est idéaliste et rêve de vivre dans un monde parfait et fait en sorte que les injustices soient punis.
D'une grande générosité elle donnerais sa vie sans peur et sans regret pour une personne qu'elle appréçit fortement. Témoin de la mort de ses parents et victime de torture, il lui arrive parfois de se déconnecter du monde, elle revit ses moments éprouvant faisant d'elle un vraie zombie. En plus de ses absences, ces épreuves ont fait elle une personne pouvant être atteint de folie. En effet il lui arriva de faire preuve de cruauté, envers les personnes qu'elle considérait comme impure....
Arme(s) utilisée(s)*: En tant que marchombre, Kescélia à toute une panoplie. En plus d' un poignard en argent toujours ceint à sa ceinture ou bien à sa cuisse, la jeune femme est équipée d'une longue épée fine et d'un arc. Mais tout peut être dangeureux entre ses mains. Sans oublier qu'elle garde toujours une griffe munis d'une corde.
Histoire (10 lignes minimums)*: J'avais quatre ans quand je comprit que je ne pouvais pas vivre dans ce monde sans y participer. Mes parents et moi vivions dans une petite chaumière reculée. La rivière coulait juste devant et mon père aimait m'y emmener pêcher les grenouilles. Ma mère était belle comme une princesse même si c'était moi que l'on appelait ainsi dans notre "petit château". Tout pour vivre heureux non?!? Mais ce genre de chose ne peut pas durer, surtout dans les temps où nous vivons... Des pilards avait été signalés à cinq jours de notre village mais personne ne semblait s'inquieter de ce genre de nouvelle. Ils auraient dû... Nous fûmes attaqués durant la nuit et alors que mon père tentait de les repousser ma mère et moi nous échappions dans les bois non loin.
-Maman où va t-on? demandais je dans les bras de celle-çi.
-Je ne sais pas mon coeur loin...loin.... Elle était essouflée et je crut sentir des larmes sur ses joues.
Nous n'allâmes pas aussi loin que nous le voulions, un grand cheval noir nous barra la route et fit chuter ma mère. C'est à ce moment là que je gagna ma cicatrice à la pommette gauche. Quand ma mère tomba, j'eus la chance d'atterrir sur un cailloux particulièrement pointu qui faillit me crever l'oeil.
-Récupère moi ça et ramène les vers le mari, glappit l'homme à cheval.
A cet instant deux autres hommes apparurent et nous attrapèrent sans ménagement. Nous retrouvons la chaumière en un rien de temps. Là nous revimes mon père...une fourche plantée dans le dos. J'entends encore le cri aigu et plein de deespeoir de ma mère à cette vision, je sens encore mes larmes coulées et la brulure que cela provoqua sur ma blessure encore sanglante.
Le sort de ma mère ne fut pas meilleur, après que tous les hommes passèrent sur elle, sous mes yeux horrifiés. Elle fut décapité pas celui qui semblait dirigé ses renégats.
-Qu'est ce qu'on fait de la gamine? demanda l'un d'entre eux. Le chef s'approcha me prit par le menton et me regarda dans les yeux.
-Laissez là donc avec ses parents... Tous éclatèrent de rire avant de me relacher et de partir sur leur chevaux.
Je suis restée là sans bouger quelques temps, puis finalement je me suis couchée à côté de mon pèren qui était sur le sol de la cuisine. Je me suis souvent demandé pourquoi j'avais privilégié mon père, mais désormai je pense que je préférais m'allonger sur le sol froid que de rejoindre ma mère dans ce lit dévasté et souillé.
Durant trois jours peut être plus je ne bougea pas, espérant rejoindre mes parents peut être... Même je me suis relevé en vie, plus une seule larmes dans mon corps mais remplit de haine.
J'ai erré en sauvageonne sans savoir où allé, mes pieds m'emmenèrent jusqu'a la ville. Là je subit rejet et raillerie, personne ne semblait se demander pourquoi une jeune enfant comme moi déambulait ainsi la joue pleine de sang. Ma premièr nuit en ville se passa dans un rue glauque. De là j'appris à me débrouiller par moi même. Je volais de quoi manger et attendait que les palfrenier quitte ls écuries des auberges pour dormir au chaud.
Je vécut ainsi presqu deux ans, puis mon destin prit une autre tournure. Un homme tout de noir vêtu m réveilla en pleine nuit dans un box. Tout d'abord effrayé je me suis débattu mais je ne pouvais rien faire. Il me rassura me dit qu'il m'avait obsrvé quelques temps et que je méritais peut être de l'avoir comm maître, pour devenir Marchombre. D'abord sceptique je décidai d'acceptr. C'est aisni que j'entrai dans cette élite très fermé...A partir de là je ne peux plus rien vous raconter. Sachez seulement, que mon maître m' as tout apprit en plus de mes talents de marchombres, je sais aussi lire écrire compter et plus encore....
Désormais je suis une vrai marchombre....Mon maître a été assassiné et je compte le venger.
Autre : Euh....sur sa nuque se trouve la marque d'un faucon marqué au fer rouge.